Bonne et moins bonne
Comme chaque fois qu'il y a une bonne et une moins bonne nouvelle, on commence par annoncer la moins bonne. Je ne vais donc pas faire d'exception.
Je vous ai abandonné une petite dizaine de jours, le temps qu'une pyélonéphrite me fasse mettre un genou à terre au point d'adopter mon canapé comme mon lieu préféré de la maison et mon plaid comme seconde peau (j'ai même dormi avec des chaussettes et une polaire... mais, chut, hein, j'ai une certaine " glamouritude " à préserver !).
Bref, une fois de plus, antibio et traitement de fond mais, cette fois-ci, j'ai quand même eu la chance d'avoir été diagnostiquée suffisamment tôt pour éviter de repasser par la case échographie rénale et par celle du quasi coma léthargique lié à une trop forte fièvre...
Maintenant, place aux bonnes nouvelles !
D'abord, depuis quelques jours, le temps s'est remis à la pluie et aux températures frisquettes. Un matin, on se lève et en ouvrant la porte d'entrée un petit froid bien mordant vous frappe le visage alors, vous allez chercher quelques bûches dans votre tas de bois et vous vous prenez à rêver du premier feu de cheminée que vous allumerez bientôt... Ca y est, le véritable automne frappe au carreau !
Enfin, la meilleure nouvelle qui me soit tombée dessus depuis que je suis à la recherche d'un emploi : les inscriptions au troisième concours pour tenter de devenir professeur des écoles.
J'ai rempli le dossier à la vitesse de l'éclair, j'ai opéré mes cinq choix d'affectation et choisi mon option pour les épreuves avant d'avoir dit " ouf ".
Et si vous voulez tout savoir, je crois qu'il y a de bons signes : j'ai rendez-vous jeudi prochain avec un instit qui s'occupe de la formation des jeunes maîtres et j'ai rencontré, par le plus grand des hasards, ce week-end, une jeune femme qui a passé le concours l'an dernier, qui a été reçue et qui va me faire passer toutes ses fiches de révision...