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Des Blabla
23 février 2016

Les huit salopards

255916

Allez, hop, j'avais dit, je fais !
Deuxième séance de rattrapage... et première grosse déception de l’année en matière de cinéma !

En général, je suis acquise à Tarantino et attends avec gourmandise la sortie d’un nouveau film de lui…
Avec « Les huit salopards », je suis passée de l’autre côté de la barrière, du côté de ceux qui se demandent où est l’intérêt de son cinéma.
En un mot, je suis complètement passée à côté des 2h50 que dure le film. C’est long !!!

Pourtant, au départ, j’étais accrochée à mon siège, liée aux images par la magie de la musique d’Ennio Moricone et par la réalisation en 70mm. J’étais comme les enfants qui ouvrent la bouche en attendant que la cuillère pleine de leur plat favori leur tombe dedans.

Peut-être que le format en huis-clos est difficile à gérer ou ce sont les espèces de mise en abyme… ou je ne sais pas... en tous cas, j’ai eu plus de mal à gérer la violence à outrance qui, d’habitude, ne me gêne pas chez Tarantino.
J’ai assez peu accroché au scenario que j’ai trouvé faiblard.
Les dialogues qui, au début, m’intéressaient, finalement m’ont ennuyée dès que ça a commencé à « mal tourner » dans la mercerie de Minnie où ils sont devenus assez indigestes…

Même Samuel L Jackson, que j’aime d’habitude beaucoup, a peiné à trouver grâce à mes yeux !
Et mon petit Tim Roth ? Je l'ai à peine remarqué...

En revanche, contre toute attente, j’ai aimé les paysages ou les décors qui me faisaient penser à un vieux western…
Oui, finalement, ça et la musique m’ont presque fait oublier le pauvre reste de ma soirée !
Ca fait peu, vous trouvez ? C'est exact...

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