Un peu de tout, un peu de rien #6

Quelques découvertes liées à mes copains parisiens mais qui m'ont fait sourire, hier, sur la toile...

Vous connaissez mon côté un peu " sensible " vis à vis de notre langue...
Et, là, j'adore !

J'avoue également que cet article sur la disparition du vol de la Malaysia Airlines me fait sourire.
Ah, c'est beau le professionnalisme des spécialistes, des journalistes et autres... C'était quoi déjà le titre de la chanson de Jean Gabin ?
Je me dis aussi que ça fait du bien que Télérama arrête un peu de se prendre au sérieux avec leur côté intellectuel intellectualisant...

Le printemps n'est pas spécialement ma saison préférée mais j'avoue qu'après l'hiver pluvieux que nous avons eu, j'apprécie vraiment les journées ensoleillées que nous avons eues cette semaine.
J'ai beaucoup pensé à ceux qui étaient enfermés dans leur bureau alors que je profitais du soleil dans mon salon de jardin ou en retirant les mauvaises herbes qui ont proliféré depuis l'été dernier.
Mon jardin est parsemé d'une grande quantité de petites fleurs aux couleurs vives... Les herbes aromatiques qui embaument les mains quand on les touche.
Bon, ok, je n'ai plus de dos mais c'était bien !

Je profite à fond des bonnes dispositions de caractère de Sainte Chérie qui est redevenue, depuis quelques jours, une demoiselle souriante et agréable.
On reprend plaisir à cohabiter, à partager, à communiquer.
Je sais bien que les mauvais jours reviendront mais en attendant, l'idée qu'il y aura encore d'autres petites oasis de douceur et de tendresse au milieu des tempêtes de l'adolescence, suffit à me mettre du baume au coeur !

Puis-je rire (jaune) quand je lis l'indignation de Nicolas Sarkozy à propos du bafouement des principes de la république...
Forcément quand on se souvient de la réforme constitutionnelle qu'il a instiguée à l'époque où il était président de la république et qui permet maintenant au président de se présenter devant le parlement (bonjour le bafouement de la séparation des pouvoirs !)...
Là, tout à coup, on sent que les principes fondamentaux de la république, c'est un principe à géométrie variable...

J'ai redécouvert " Le cercle des poètes disparus " que je n'avais pas revu depuis mon adolescence.
Qu'est-ce-que je suis contente ! Ca n'a pas vieilli.
Cela m'a replongée dans mes émotions adolescentes... C'est étrange de ressentir cette espèce de madeleine de Proust sur des émotions
J'ai eu une pensée pour Liline avec qui je l'avais vu.

J'ai envie d'avoir des envies... mais je ne sais pas lesquelles !